Bildad abandonne le débat relatif à la prospérité du pécheur ; il souligne cependant la distance infinie qui sépare Dieu de l’homme. Il expose certaines vérités que Job avait pu manquer d’observer. La droiture et la sainteté de l’homme sont de piètre envergure, comparées à celles de Dieu, Psaumes 89:6.

Comment l’homme, coupable et impur, peut-il subsister, face à la grandeur et à la gloire de Dieu ? Nous avons besoin d’être nés d’eau et d’Esprit Saint, besoin d’être sans arrêt purifiés par le sang de Christ, la Source disponible, Zacharie 13:1.

Nous devons nous humilier, misérables créatures polluées que nous sommes, et renoncer à nous-mêmes. Notre nature misérable nous impose de nous placer sous la condescendance et l’amour de Christ ; les richesses de Sa miséricorde et la puissance de Sa grâce seront magnifiées éternellement par le rachat de tous les pécheurs.