Livres de la Bible



Jean 6

Introduction de Matthew Henry

* Le miracle de cinq mille personnes rassasiées (1-14). Jésus marche sur la mer (15-21). Il indique la nourriture spirituelle (22-27). Son sermon à la multitude (28-65). De nombreux disciples s’éloignent de lui (66-71).

* Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.


Multiplication des pains pour 5000 hommes

1 Après cela, Jésus s'en alla de l'autre côté du lac de Galilée, ou lac de Tibériade. 2 Une grande foule le suivait, parce que les gens voyaient les signes miraculeux qu'il faisait sur les malades. 3 Jésus monta sur la montagne, et là il s'assit avec ses disciples. 4 Or la Pâque, la fête juive, était proche.

5 Jésus leva les yeux et vit une grande foule venir vers lui. Il dit à Philippe: «Où achèterons-nous des pains pour que ces gens aient à manger?» 6 Il disait cela pour le mettre à l'épreuve, car lui-même savait ce qu'il allait faire. 7 Philippe lui répondit: «Les pains qu'on aurait pour 200 pièces d’argent ne suffiraient pas pour que chacun en reçoive un peu.» 8 Un de ses disciples, André, le frère de Simon Pierre, lui dit: 9 «Il y a ici un jeune garçon qui a cinq pains d'orge et deux poissons, mais qu'est-ce que cela pour tant de monde?» 10 Jésus dit: «Faites asseoir ces gens.» Il y avait beaucoup d'herbe à cet endroit. Ils s'assirent donc, au nombre d'environ 5000 hommes. 11 Jésus prit les pains, remercia Dieu et les distribua [aux disciples, qui les donnèrent] à ceux qui étaient là; il leur distribua de même des poissons, autant qu'ils en voulurent. 12 Lorsqu'ils furent rassasiés, il dit à ses disciples: «Ramassez les morceaux qui restent, afin que rien ne se perde.» 13 Ils les ramassèrent donc et ils remplirent douze paniers avec les morceaux qui restaient des cinq pains d'orge après que tous eurent mangé.

14 A la vue du signe miraculeux que Jésus avait fait, ces gens disaient: «Cet homme est vraiment le prophète qui doit venir dans le monde.»

1-14 Jean relate dans ce texte, le miracle de la multiplication des pains ; il en fait référence un peu plus loin, dans son exposé au verset 6:23*.

Observons l’effet qu’eut ce miracle sur le peuple ; tous les Juifs attendaient le Messie qui devait venir dans le monde, et être un grand Prophète. Les Pharisiens les méprisèrent, prétextant qu’ils ne connaissaient pas la loi ; ces Juifs connaissaient en fait beaucoup d’éléments sur Celui qui devait « accomplir » la loi.

Bien que les hommes puissent reconnaître Christ en tant que Prophète, ils peuvent cependant rester sourds à Son enseignement …

15 Cependant Jésus, sachant qu'ils allaient venir l'enlever pour le faire roi, se retira de nouveau sur la montagne, tout seul.

16 Le soir venu, ses disciples descendirent au bord du lac. 17 Ils montèrent dans une barque pour traverser le lac et se rendre à Capernaüm. Il faisait déjà nuit et Jésus ne les avait pas encore rejoints. 18 Le vent soufflait avec violence et le lac était agité. 19 Après avoir ramé environ cinq kilomètres, ils virent Jésus qui marchait sur l'eau et s'approchait de la barque, et ils eurent peur. 20 Mais Jésus leur dit: «C'est moi, n'ayez pas peur!» 21 Ils voulurent alors le prendre dans la barque, et aussitôt celle-ci aborda à l'endroit où ils allaient.

15-21 Nous trouvons dans ce texte les disciples de Christ, en train d’exercer leur ministère : Jésus priait pour eux ; ils étaient cependant, dès la première épreuve, rapidement en détresse.

Il peut y avoir des périls et de l’affliction au temps présent, dès lors qu’on manifeste un intérêt pour Christ. Les « nuages et les ténèbres » entourent souvent les enfants de Dieu, mais ils voient spirituellement « Jésus marcher sur la mer » !

Même la perspective de la consolation et de la délivrance célestes est souvent mal discernée ; cela peut être des occasions de crainte pour ceux qui cherchent à suivre Jésus. Rien n’est plus efficace que cette parole, pour convaincre les pécheurs : « je suis Jésus que tu persécutes » ; il n’y a pas de meilleure parole pour consoler les saints que celle-ci : « Je suis Jésus que tu aimes » !

Si nous avons reçu Christ, le Seigneur, en notre cœur, bien que la nuit soit sombre et le vent impétueux, ne désespérons pas, nous atteindrons le « rivage » spirituel au plus vite !

Jésus, le pain de vie

22 Le lendemain, la foule restée de l'autre côté du lac remarqua qu'il n'y avait eu là qu'une seule barque et que Jésus n'était pas monté dedans avec ses disciples, mais que ceux-ci étaient partis seuls. 23 D'autres barques arrivèrent de Tibériade près de l'endroit où ils avaient mangé le pain après que le Seigneur eut remercié Dieu. 24 Quand les gens s'aperçurent que ni Jésus ni ses disciples n'étaient là, ils montèrent dans ces barques et allèrent à Capernaüm à la recherche de Jésus. 25 Ils le trouvèrent de l'autre côté du lac et lui dirent: «Maître, quand es-tu venu ici?» 26 Jésus leur répondit: «En vérité, en vérité, je vous le dis, vous me cherchez non parce que vous avez vu des signes, mais parce que vous avez mangé du pain et que vous avez été rassasiés. 27 Travaillez, non pour la nourriture périssable, mais pour celle qui subsiste pour la vie éternelle, celle que le Fils de l'homme vous donnera, car c'est lui que le Père, Dieu lui-même, a marqué de son empreinte .»

22-27 Au lieu de répondre à la curiosité du peuple, sur le motif de Sa venue, Jésus adresse des reproches à tous. Le plus grand sérieux doit être employé, quant à la recherche du salut, dans le cheminement emprunté pour l’acquérir ; il ne doit cependant être recherché qu’en tant que don du Fils de l’homme.

Christ est Celui que le Père a scellé de Son sceau, prouvant ainsi qu’Il est Dieu. Il a solennellement déclaré que le Fils de l’homme est le Fils de Dieu !

28 Ils lui dirent: «Que devons-nous faire pour accomplir les œuvres de Dieu?» 29 Jésus leur répondit: «L'œuvre de Dieu, c'est que vous croyiez en celui qu'il a envoyé.» 30 «Quel signe miraculeux fais-tu donc, lui dirent-ils, afin que nous le voyions et que nous croyions en toi? Que fais-tu? 31 Nos ancêtres ont mangé la manne dans le désert, comme cela est écrit: Il leur a donné le pain du ciel à manger. »

32 Jésus leur dit: «En vérité, en vérité, je vous le dis, ce n'est pas Moïse qui vous a donné le pain du ciel, mais c'est mon Père qui vous donne le vrai pain du ciel. 33 En effet, le pain de Dieu, c'est celui qui descend du ciel et qui donne la vie au monde.» 34 Ils lui dirent alors: «Seigneur, donne-nous toujours ce pain-là!»

35 Jésus leur dit: «C’est moi qui suis le pain de la vie. Celui qui vient à moi n'aura jamais faim et celui qui croit en moi n'aura jamais soif.

28-35 La foi en Christ est un « exercice » constant ; c’est le côté le plus important et le plus difficile de l’obéissance qui est exigée de notre part, par Dieu, en tant que pécheurs recherchant le salut.

Lorsque par la Grâce, il est permis de vivre une vie de foi dans le Fils de Dieu, les âmes pieuses Le suivent, et un ministère spirituel peut être alors entrepris. L’Éternel, qui autrefois dans le désert, a donné la nourriture du ciel (la manne) aux pères des enfants d’Israël, pour qu’ils restent en vie, nous donne maintenant le véritable « Pain », pour le salut des âmes. Le fait de venir à Jésus et de croire en Lui signifie symboliquement « manger de ce Pain de vie ». Christ annonce qu’Il est ce véritable Pain ; Il représente pour l’âme, ce que le pain est au corps, Il nourrit et entretient la vie spirituelle. Il est le « Pain de Dieu », ce Pain que le Père nous offre, pour nourrir notre âme. Le pain nourrit uniquement des corps en vie ; Christ est Lui-même ce Pain vivant ; Il nourrit par Sa propre puissance.

Cette doctrine de Christ crucifié est toujours aussi vivifiante et réconfortante pour le croyant. Il est le Pain qui est descendu du ciel. Cette nourriture dénote la Divinité de la Personne de Christ, ainsi que son autorité ; elle est aussi l’origine divine de tout le bien qu’Il nous accorde.

Puissions-nous par la foi et avec ferveur Lui demander : « Seigneur, donne-nous toujours de ce Pain » !

36 Mais, je vous l'ai dit, vous m'avez vu et pourtant vous ne croyez pas. 37 Tous ceux que le Père me donne viendront à moi et je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi. 38 En effet, je suis descendu du ciel pour faire non pas ma volonté, mais celle de celui qui m'a envoyé. 39 [Or, la volonté du Père qui m'a envoyé,] c'est que je ne perde aucun de tous ceux qu'il m'a donnés, mais que je les ressuscite le dernier jour. 40 En effet, la volonté de mon Père, c'est que toute personne qui voit le Fils et croit en lui ait la vie éternelle, et moi, je la ressusciterai le dernier jour.»

41 Les Juifs murmuraient à son sujet parce qu'il avait dit: «Je suis le pain descendu du ciel», 42 et ils disaient: «N'est-ce pas Jésus, le fils de Joseph, celui dont nous connaissons le père et la mère? Comment donc peut-il dire: ‘Je suis descendu du ciel’?» 43 Jésus leur répondit: «Ne murmurez pas entre vous. 44 Personne ne peut venir à moi, à moins que le Père qui m'a envoyé ne l'attire, et moi, je le ressusciterai le dernier jour. 45 Il est écrit dans les prophètes: Ils seront tous enseignés de Dieu. Ainsi donc, toute personne qui a entendu le Père et s’est laissé instruire vient à moi. 46 C'est que personne n'a vu le Père, sauf celui qui vient de Dieu; lui, il a vu le Père.

36-46 Lorsque les hommes, par l’enseignement du Saint-Esprit, découvrent leur culpabilité, le danger spirituel dans lequel ils se trouvent et le remède à prendre, ils sont alors disposés à s’approcher de Christ et heureux de le faire, en abandonnant tout ce qui les empêche de bénéficier de Son salut.

La volonté du Père est qu’aucun de ceux qui ont été donnés au Fils ne puisse être repoussé ou perdu. Nul ne peut venir à Lui sans être soumis à la Grâce divine, la Seule qui ait changé son cœur ; c’est pourquoi aucun de ceux qui s’approchent du Seigneur ne sera rejeté. L’Évangile annonce qu’aucune personne, même disposée à se sauver elle-même, par une certaine humiliation ou dans une vie de sainteté, ne peut être rachetée ; en fait, Dieu attire l’homme par Sa Parole et le Saint-Esprit ; le devoir de tout homme est d’entendre et d’apprendre, c’est-à-dire de recevoir cette Grâce offerte, et d’accepter à cette promesse du salut.

Nul n’a vu le Père si ce n’est Son Fils bien-aimé ; dans ce texte, les Juifs devaient accepter l’enseignement de Jésus, Sa Puissance spirituelle, Sa Parole, et les disciples qu’Il a envoyés parmi le peuple …

47 En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit [en moi] a la vie éternelle. 48 Je suis le pain de la vie. 49 Vos ancêtres ont mangé la manne dans le désert et ils sont morts. 50 Voici comment est le pain qui descend du ciel: celui qui en mange ne mourra pas. 51 Je suis le pain vivant descendu du ciel. Si quelqu'un mange de ce pain, il vivra éternellement, et le pain que je donnerai, c'est mon corps, [que je donnerai] pour la vie du monde.»

47-51 L’avantage de la manne était en quelque sorte limité : elle ne se rapportait qu’à cette vie terrestre ; « le pain de vie », quant à lui, est excellent : l’homme qui s’en nourrit ne mourra jamais !

Ce pain est la nature humaine de Christ, nature qu’Il revêtit pour l’offrir au Père, en tant que sacrifice pour les péchés du monde ; consommer ce pain, c’est acquérir tout ce qui appartient à la vie et à la piété ; cela concerne les pécheurs de toutes nations, qui se repentent et croient en Jésus !

52 Là-dessus, les Juifs se mirent à discuter vivement entre eux, disant: «Comment peut-il nous donner son corps à manger?» 53 Jésus leur dit: «En vérité, en vérité, je vous le dis, si vous ne mangez pas le corps du Fils de l'homme et si vous ne buvez pas son sang, vous n'avez pas la vie en vous-mêmes. 54 Celui qui mange mon corps et qui boit mon sang a la vie éternelle, et moi, je le ressusciterai le dernier jour. 55 En effet, mon corps est vraiment une nourriture et mon sang est vraiment une boisson. 56 Celui qui mange mon corps et qui boit mon sang demeure en moi, et moi je demeure en lui. 57 Tout comme le Père qui est vivant m'a envoyé et que je vis grâce au Père, ainsi celui qui me mange vivra grâce à moi. 58 Voilà comment est le pain descendu du ciel. Il n'est pas comme [la manne que vos] ancêtres ont mangée; eux sont morts, mais celui qui mange de ce pain vivra éternellement.»

59 Jésus dit ces paroles alors qu'il enseignait dans une synagogue, à Capernaüm.

52-59 La chair et le sang du fils de l’homme révèlent le Rédempteur, revêtu de la nature humaine : Christ, en tant qu’homme, crucifié, avec la rédemption opérée par ce sacrifice et tous les précieux bienfaits qui en découlent, le pardon du péché, notre adoption par Dieu, le chemin du trône de la Grâce, les promesses de l’alliance et la vie éternelle !

Tous ces bienfaits sont appelés « la chair et le sang de Christ », parce qu’ils sont acquis par Son corps rompu, et Son sang répandu. Cela représente également « la nourriture et la boisson spirituelles » de notre âme. Manger cette chair et boire ce sang signifient croire en Christ.

Par la foi, nous sommes participants de Christ et de Ses bienfaits. L’âme qui reconnaît sincèrement son état déplorable et ses besoins, y trouve tout ce qui peut contribuer à calmer la conscience et engendrer une véritable sainteté dans le Rédempteur, « Dieu manifesté en chair ».

Méditer sur la croix de Christ, donne de la vie à notre repentance, notre amour et notre reconnaissance envers Lui. Nous vivons en Jésus, comme nos corps vivent, grâce à notre nourriture. Nous vivons en Lui, tels des membres qui subsistent, grâce à la tête, des branches grâce aux racines : étant Lui-même vivant, nous vivons aussi !

60 Après l'avoir entendu, beaucoup de ses disciples dirent: «Cette parole est dure. Qui peut l'écouter?» 61 Jésus savait en lui-même que ses disciples murmuraient à ce sujet. Il leur dit: «Cela vous scandalise? 62 Si vous voyiez le Fils de l'homme monter là où il était auparavant! 63 C'est l'Esprit qui fait vivre, l’homme n’arrive à rien. Les paroles que je vous dis sont Esprit et vie, 64 mais il y en a parmi vous quelques-uns qui ne croient pas.» En effet, Jésus savait dès le début qui étaient ceux qui ne croyaient pas et qui était celui qui le trahirait. 65 Il ajouta: «Voilà pourquoi je vous ai dit que personne ne peut venir à moi à moins que cela ne lui soit donné par mon Père.»

60- 65 Quand Il était encore dans les lieux célestes, Christ n’avait pas encore revêtu Sa nature humaine, mais étant désormais devenu à la fois Dieu et homme, cette merveilleuse Personne s’est manifestée ici-bas, témoignant toutefois de Son origine.

Le Royaume du Messie n’était pas de ce monde ; Ses disciples devaient comprendre, par la foi, ce qu’Il entendait lorsqu’Il mentionnait la vie spirituelle et la plénitude qui en découle. Sans l’âme, la chair de l’homme n’a aucune valeur ; de même, sans l’Esprit vivifiant de Dieu, toutes formes de religions sont mortes et vaines.

Christ, Celui qui opéra toutes ces mesures pour le bienfait de notre âme, est le Seul qui puisse nous enseigner à ce sujet et nous attirer à Lui, afin que nous puissions vivre, par la foi, en Lui. Rendons-Lui Grâce pour ce qu’Il déclare : « quiconque veut venir à Moi, sera bien accueilli » !

66 Dès ce moment, beaucoup de ses disciples se retirèrent et arrêtèrent de marcher avec lui.

67 Jésus dit alors aux douze: «Et vous, ne voulez-vous pas aussi vous en aller?» 68 Simon Pierre lui répondit: «Seigneur, à qui irions-nous? Tu as les paroles de la vie éternelle. 69 Et nous, nous croyons et nous savons que tu es le Messie, le Fils du Dieu vivant.» 70 Jésus leur répondit: «N'est-ce pas moi qui vous ai choisis, vous les douze? Et l'un de vous est un diable!» 71 Il parlait de Judas l’Iscariot , fils de Simon, car c'était lui qui allait le trahir, lui, l'un des douze.

66-71 Quand nous avons des pensées sévères, voire négatives, concernant les paroles et les œuvres de Jésus, nous entrons en tentation ; si le Seigneur, dans Sa Miséricorde, ne nous en empêchait pas, cela finirait par nous faire régresser dans notre vie spirituelle. Le cœur méchant et corrompu de l’homme offense souvent le Seigneur, par de vaines pensées, qui devraient au contraire, être toujours positives à Son égard.

Dans les versets précédents, notre Seigneur avait promis la vie éternelle à Ses disciples. Ces derniers s’attachèrent à cette claire déclaration et résolurent de Lui être fidèles, alors que d’autres la considérèrent comme une parole nulle, ce qui les conduisit à L’abandonner.

La doctrine de Christ est la parole de la Vie Éternelle, c’est pourquoi nous devons vivre et mourir spirituellement en elle. Si nous abandonnons Christ, nous abandonnons toutes les grâces qui nous sont promises.

Les disciples crurent que Jésus était vraiment le Messie, Celui qui avait été annoncé à leurs pères, le Fils du Dieu vivant. Quand nous sommes tentés de retourner en arrière ou de nous écarter de Christ, il est bon de nous rappeler les premiers principes qu’Il nous a enseignés, et de nous y attacher. Nous égarerons-nous et abandonnerons-nous notre Rédempteur ? À qui irions-nous ? Lui seul peut nous procurer le salut, par le pardon de nos péchés. Cette certitude est la seule qui puisse nous apporter la confiance, la consolation et la joie, elle condamne la crainte et le découragement. Christ est la seule source de réel bonheur en ce monde, Il ouvre une voie vers la félicité éternelle !


Texte biblique de la Bible Version Segond 21
Copyright © 2007 Société Biblique de Genève
Reproduit avec aimable autorisation. Tous droits réservés.

Commentaires de Matthew Henry
Traduction française par Dominique Osché.
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